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ALBI

SCENE NATIONALE ALBI

PRIX DES PLACES :18€ / 12€ pour les moins de 15 ans

Chèque à l’ordre de la SNA

Attention : réservation des places pour FIQ, mercredi 27 sept dernier délai !

FIQ Groupe acrobatique de Tanger             COMPLET                                                                   Mardi 3 octobre à 20h (30 places)

Avec une virtuosité ébouriffante, la troupe de Fiq  livre un hymne tonitruant à la jeunesse, à l’audace et à la fête.
Une explosive pop acrobatie !

Fiq rassemble une foule de talents. Sur scène : une quinzaine de danseur·euse·s et acrobates recruté·e·s aux quatre coins du Maroc, dans toutes les disciplines, et DJ Dino, un DJ de génie.

À eux tous et toutes, ils et elles produisent une foule plus grande encore de merveilles : mélanges de hip hop et de portés traditionnels marocains, lévitation de DJ, chorégraphie footballistique, acrobaties au sol, à moto et dans les airs… Dans un raz de marée de couleurs, la conjugaison de tous ces talents crée un prodigieux élan de vie ! « Un hymne à la jeunesse marocaine dans ce spectacle époustouflant de dextérité et d’humour. »Télérama

Note béa : j’ai déjà vu une de leurs propositions ; beau spectacle léger, très dynamique et surtout joyeux ! Pas besoin de réfléchir, ça danse, ça rebondit, ça vous emporte ! Des interprètes très engagés !

LAC DES CYGNES Angelin Preljocaj                                                                                

dimanche 12 novembre à  17h (40 places)

Angelin Preljocaj renoue avec le ballet narratif et son goût pour les histoires. Il s’empare avec brio de ce monument du répertoire classique. Son Lac des cygnes fait d’ores et déjà figure d’événement !

Le chorégraphe se saisit du mythe de la princesse cygne et transpose l’histoire d’Odette et du prince Siegfried dans une fable environnementale terriblement actuelle. Avec beaucoup d’espièglerie, il demeure fidèle au ballet classique, aux actes « blancs » et aux ballerines vêtues de tutus. La tradition du divertissement est également respectée où les danses orientales et espagnolades sont revisitées avec humour.

Avec ses 26 interprètes époustouflant·e·s, dans un écrin scénographique somptueux (sublimes lumières d’Éric Soyer, imposants tableaux vidéo de Boris Labbé) et les inserts musicaux électro de 79D dans la partition de Tchaïkovski, le chorégraphe pénètre avec ingéniosité les brumes romantiques du lac, entre danse classique et danse contemporaine.

 

Note béa : classique revisité par Preljocaj ; très esthétique, de très beaux danseurs, des ensembles parfaits, de la rigueur et un peu de folie…pièce accessible qui devrait séduire nombre d’entre vous.

CORPS EXTREMES Rachid Ouramdane

 Vendredi 22 décembre à 20h (40 places)

Chorégraphier dans les airs, quoi de plus beau ? Échapper à la gravité, prendre son envol, se poser sur le fil entre la vie et la mort pour réfléchir l’humanité autrement…

Avec Corps extrêmes, Rachid Ouramdane invite deux champion:ne:s de l’extrême, un « highlineur » et une grimpeuse, à rejoindre huit acrobates pour créer une communauté aérienne défiant la gravité. Témoin charnel de leurs pratiques, la pièce révèle la motivation et la philosophie de ces aventurier·ère·s hors normes, leur fragilité mais aussi leur capacité à se rendre plus libres dans une quête existentielle.

À cette confrontation à eux:elles-mêmes s’ajoute une autre dimension : celle des environnements majestueux dans lesquels il·elle·s évoluent. Ces artistes se confrontent à l’air, l’eau, la neige et racontent en creux la déshumanisation de nos villes. Une installation vidéographique à la beauté saisissante permet d’établir des résonances entre la scène et les paysages dans lesquels évolue cette communauté. Tout aussi puissant que fascinant, Corps extrêmes sculpte les chorégraphies d’artistes généreux:ses et solidaires pour une ode aux rêves.

Note béa : Ouramdane est un chorégraphe généreux ; sa danse est très humaine, fondée sur la partage. Certains d’entre vous ont vu sa pièce « Mobius ».

EXIT ABOVE Anne Teresa de Keersmaeker                                                                

Mardi 19 mars à 20h ( 40 places)

Dans cette nouvelle création, la chorégraphe flamande Anne Teresa De Keersmaeker, figure majeure de la danse contemporaine mondiale, remonte le temps jusqu’aux racines de la danse, jusqu’aux racines de la musique du XXe siècle.

Le point de départ de ce spectacle est la chanson Walking Blues du légendaire bluesman Robert Johnson. À partir de la figure du bluesman afro-américain, la chorégraphe, la compositrice-interprète Meskerem Mees, le guitariste et producteur Jean-Marie Aerts, et le danseur et guitariste Carlos Garbin nous offrent les joies et les douleurs des musiques qui nous font nous lever.

Un univers inattendu pour l’immense chorégraphe belge, créatrice de la compagnie Rosas. Une marche, qui favorise l’éclosion de pensées et de rêveries, qui conquiert dans une originalité enivrante le temps et l’espace et qui montre à quel point notre monde intérieur est un paysage à lui tout seul. Un paysage qui, souvent, ne se traverse qu’à pied. Walking songs ou l’union de « Si tu ne peux pas le dire, chante-le » et « Si tu ne peux pas le chanter, danse-le » !

Note béa : Nina GODDERIS, ancienne élève de l’Atelier a été engagée dans cette prestigieuse Cie et sera sur scène à Albi !

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