TOULOUSE
LA PLACE de la DANSE Toulouse
PRIX DES PLACES :18€ pour « 30 appearances »
10 € tous les autres
Chèque à l’ordre de la Place de la danse
LIEU : THEATRE GARONNE
30 APPEARANCES out of darkness Arno Schuitemaker ( Cité)
Vendredi 27 ou Samedi 28 septembre à 20h (15 places par soir)
Arno Schuitemaker crée une expérience où une nouvelle dimension s’ouvre à partir du noir. De cet espace noir, émergent des images, des interprètes, des mouvements, à peine éclairés, provoquant un effet hypnotisant. Imaginée comme un monde avec sa propre gravité, la scène absorbe chacun et chacune et se transforme progressivement en un lieu de protection, d’espoir et de conquête.
Note Béa : s’adresse aux personnes curieuses qui ont envie de découvrir des propositions différentes
EXIT ABOVE Anne Teresa de Keersmaeker (Cité)
Vendredi 11 ou samedi 12 octobre à 21h ( 10 places par soir)
Dans cette nouvelle création, la chorégraphe flamande Anne Teresa De Keersmaeker, figure majeure de la danse contemporaine mondiale, remonte le temps jusqu’aux racines de la danse, jusqu’aux racines de la musique du XXe siècle. Un univers inattendu pour l’immense chorégraphe belge, créatrice de la compagnie Rosas. Une marche, qui favorise l’éclosion de pensées et de rêveries, qui conquiert dans une originalité enivrante le temps et l’espace et qui montre à quel point notre monde intérieur est un paysage à lui tout seul. Un paysage qui, souvent, ne se traverse qu’à pied. Walking songs ou l’union de « Si tu ne peux pas le dire, chante-le » et « Si tu ne peux pas le chanter, danse-le » !
Note Béa : Nina Godderis, ancienne élève de l’Atelier danse dans cette pièce.
Plusieurs d’entre vous ont vu Exit above à Albi…avis très partagés : certains ont trouvé très intéressant, d’autres ont détesté…
Como una baguala oscura Nina Laisné & Néstor Pola ( Garonne)
Samedi 1er février à 21h spectacle en espagnol sous titré français ( 15 places)
Danseur virtuose et novateur de malambo, danse des gauchos axée sur le zapateo des bottes au sol, Néstor Pastorive interprète bagualas, zambas et chacareras qu’ont mis en musique Hilda Herrera, Atahualpa Yupanqui ou Eduardo Falú dans un spectacle sur lequel soufflent, âpres et libres, les vents de la pampa.
BATE FADO Jonas&Lander ( Cité)
Mercredi 5 février à 19h30 ( 15 places)
Quatre danseur·euse·s aux frappes de pieds complexes, une partition à cordes pincées par un quatuor virtuose et la voix enveloppante d’un chanteur : le duo Jonas & Lander redonne à la danse du fado batido ses lettres de noblesse.
Jonas&Lander nous le montrent énergique, volontaire, tendu comme un arc. Monument national et populaire que ce répertoire musical, le duo en redécouvre sa face cachée, la danse, largement éclipsée, aujourd’hui presque invisible. Avec quatre musiciens aux instruments à cordes pincées, un chanteur de fado, et quatre danseurs et danseuses chaussé·e·s de bottes à talon, les deux complices réinterprètent les pas et frappes des pieds du fado batido, sorte de claquettes portugaises qui allient virtuosité, rapidité et complexité des jeux de jambes, de hanches et d’épaules. Un fado à faire bondir le cœur.
Fampitaha, fampita, fampitàna Soa Ratsifandrihana (Cité)
Mercredi 5 février à 20h30 (10 places)
Fampitaha, fampita, fampitàna, signifie la comparaison, la transmission, la rivalité en malgache. Sur scène, quatre corps se défient, se choisissent et se purgent (des strates) de violences qui les composent. la chorégraphe Soa Ratsifandrihana cherche un vocabulaire entre les corps et l’histoire pour comprendre ce qui les lie et ce qui les singularise. Soa s’entoure du guitariste Joël Rabesolo et des performeur·euse·s Audrey Merilus et Stanley Ollivier pour construire une altérité nouvelle où les corps sortent de leur mutisme en s’offrant la possibilité du langage.
Note Béa : Soa ( qui est déjà intervenue plusieurs fois à l’Atelier) vient nous présenter une pièce sur ses origines malgaches, sur les racines de chacun…